kir
2 à 3 cl de liqueur de cassis
allongé avec du Bourgogne aligoté (vin blanc)
élaboration : verre direct
verre : à vin
garniture : néant
VARIANTES :
- communard : vin rouge de Bourgogne
- cardinal : vin rouge de Bordeaux
- Kir royal : Crémant de Bourgogne
- Kir médocain : vin rosé du Médoc
- Kir breton : cidre
- le blanc-cassis multiplie les saveurs : mûre, framboise, pêche, violette... et même mangue. mais avec un vin blanc commun.
- Kir lorrain : avec de la liqueur de mirabelle
- Kir ardéchois : crème de châtaigne
- Kir normand : calvados et cidre
- cardinal : vin rouge de Bordeaux
- Kir royal : Crémant de Bourgogne
- Kir médocain : vin rosé du Médoc
- Kir breton : cidre
- le blanc-cassis multiplie les saveurs : mûre, framboise, pêche, violette... et même mangue. mais avec un vin blanc commun.
- Kir lorrain : avec de la liqueur de mirabelle
- Kir ardéchois : crème de châtaigne
- Kir normand : calvados et cidre
HISTOIRE:
La légende attribue cet apéritif à base de crème de cassis et de vin blanc sec au chanoine Félix Kir, le député et maire de Dijon de 1945 à 1968. Pourtant, même s’il lui donna son nom, sans doute en raison d’un patronyme court et qui sonne bien, il n’en est pas l’inventeur. Il faut pour cela remonter un peu plus loin dans le temps, et à un autre maire de la ville.
Un jour de 1904, dans un bar de Dijon, le Montchapet, à l’angle de la rue du même nom et de la rue Constantine, un serveur aurait eu l’idée d’améliorer un vin blanc ordinaire en lui ajoutant de la crème de cassis. Le nom du serveur ne nous est pas parvenu, en revanche, Henri Barabant, maire de Dijon de 1904 à 1908, qui avait la bonne idée d’habiter juste au-dessus du bar, aurait été séduit par ce nouvel apéritif au point de l’introduire aux réceptions de l’hôtel de ville.
Le blanc-cassis devient populaire en Bourgogne dans l’entre-deux-guerres, avant de s’étendre au reste du pays dans les années 1950. Le député-maire Kir, raconte-t-on, ne buvait rien d’autre que son petit blanc-cass’au bar de l’Assemblée nationale. Or, par une lettre du 20 novembre 1951, le chanoine donne « en exclusivité » à la maison Lejay-Lagoute le droit d’utiliser son nom pour « une réclame de cassis, dans la forme qu’il lui plaît et notamment pour désigner un vin blanc-cassis ». Et le blanc-cassis devient jusqu’à nos jours le Kir ! Du coup, en 1952, le liquoriste enregistre la marque Un Kir.
Le blanc-cassis devient populaire en Bourgogne dans l’entre-deux-guerres, avant de s’étendre au reste du pays dans les années 1950. Le député-maire Kir, raconte-t-on, ne buvait rien d’autre que son petit blanc-cass’au bar de l’Assemblée nationale. Or, par une lettre du 20 novembre 1951, le chanoine donne « en exclusivité » à la maison Lejay-Lagoute le droit d’utiliser son nom pour « une réclame de cassis, dans la forme qu’il lui plaît et notamment pour désigner un vin blanc-cassis ». Et le blanc-cassis devient jusqu’à nos jours le Kir ! Du coup, en 1952, le liquoriste enregistre la marque Un Kir.
Le KIR est réalisé uniquement avec le Bourgogne Aligoté