mojito
5,0 cl de rhum blanc cubain
2,0 cl de jus de citron vert frais
6 brins de menthe
6 brins de menthe
2 cuillères à café d’eau gazeuse
2 cl sirop de sucre de canne
élaboration : Mélanger les feuilles de menthe avec du sucre et du jus de citron vert. Ajouter un filet d’eau gazeuse et remplir le verre de glace. Verser le rhum et garnir d’eau gazeuse. Remuer légèrement pour impliquer tous les ingrédients.
verre : large comme photo
garniture : feuilles de menthe et quatiers de citron vert
Autre Méthode de Préparation :
Placer la tige ou les feuilles de menthe au fond du verre
Ajouter 2 cuillères à café de sucre blanc ou 2 cl de sirop de canne
Ajouter au mélange le jus de citron ( 1/2 citron vert)
Verser 3 cl d’eau gazeuse
Mélanger, de préférence à l’aide d’un pilon spécial cocktail
Ajouter les glaçons (ou si vous préférez, de la glace pilée)
Terminez le cocktail en versant 5 cl de rhum cubain
C’est l’heure de l’apéro, il ne vous reste plus qu’à déguster !
Petite astuce : pour moins d’amertume, pressez les feuilles de menthe plutôt que de les plier
Ajouter 2 cuillères à café de sucre blanc ou 2 cl de sirop de canne
Ajouter au mélange le jus de citron ( 1/2 citron vert)
Verser 3 cl d’eau gazeuse
Mélanger, de préférence à l’aide d’un pilon spécial cocktail
Ajouter les glaçons (ou si vous préférez, de la glace pilée)
Terminez le cocktail en versant 5 cl de rhum cubain
C’est l’heure de l’apéro, il ne vous reste plus qu’à déguster !
Petite astuce : pour moins d’amertume, pressez les feuilles de menthe plutôt que de les plier
HISTOIRE : Quelle est l’origine du mojito ?
Théorie #1
Au XVIème siècle, Francis Drake (surnommé « El Draque », le Dragon, par les Espagnols), sème la terreur et le chaos dans les Caraïbes. Et Cuba n’échappe pas aux raids meurtriers du terrible corsaire anglais.
Mais le pirate est aussi un bon vivant. À Cuba, il découvre le « tafia », une eau-de-vie de canne à sucre. Le gourmand y ajoute un peu de sucre et quelques feuilles de menthe pliées, un remède bien connu des pirates pour combattre la nausée. L’ancêtre du mojito est né.
Au début du XXème siècle, les bars havanais s’emparent de la recette et la modernisent : le tafia est remplacé par du rhum, tandis que le citron vert s’invite dans le cocktail pour y apporter peps et fraîcheur. C’est d’ailleurs à ce dernier ingrédient que le mojito doit son nom : le « mojo » est en effet un mélange à base de citron couramment utilisé dans la cuisine cubaine pour relever le goût des aliments.
Théorie #2
Moins folklorique, la 2ème théorie sur les origines du mojito est peut-être malgré tout plus réaliste ! Le célèbre cocktail serait en fait inspiré du « mint julep », un cocktail emblématique du sud des États-Unis.
Vraisemblablement inventé au XVIIIème siècle, le mint julep est préparé avec quatre ingrédients : de la menthe, du bourbon, du sucre et de l’eau.
Le mojito dans les années 1920
Quelle que soit son origine, le mojito est LE cocktail à la mode dans les années 1920 à Cuba. À tel point qu’il est même élevé au rang de « cocktail national de Cuba », rien que ça !
Et force est de constater qu’aujourd’hui encore, le célèbre breuvage est considéré comme l’un des emblèmes du pays.
Hemingway et le mojito
Ernest Hemingway, mythique écrivain américain, tombe sous le charme de Cuba à la fin des années 1920. Comme Francis Drake, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’Hemingway est un bon vivant. Il s’installe à Cuba, où il vivra des années 1930 aux années 1960, et se met en quête de repaires où il pourra librement s’adonner à l’une de ses activités préférées : boire !
C’est ainsi que La Bodeguita del Medio, réputée pour servir le meilleur mojito de La Havane, devient l’une des adresses préférées du célèbre écrivain. Il participe d’ailleurs à en faire l’un des bars les plus emblématiques de la capitale. Aujourd’hui encore, visiteurs de passage et gens du cru s’y retrouvent pour siroter un délicieux mojito dans la plus pure tradition cubaine !
Au XVIème siècle, Francis Drake (surnommé « El Draque », le Dragon, par les Espagnols), sème la terreur et le chaos dans les Caraïbes. Et Cuba n’échappe pas aux raids meurtriers du terrible corsaire anglais.
Mais le pirate est aussi un bon vivant. À Cuba, il découvre le « tafia », une eau-de-vie de canne à sucre. Le gourmand y ajoute un peu de sucre et quelques feuilles de menthe pliées, un remède bien connu des pirates pour combattre la nausée. L’ancêtre du mojito est né.
Au début du XXème siècle, les bars havanais s’emparent de la recette et la modernisent : le tafia est remplacé par du rhum, tandis que le citron vert s’invite dans le cocktail pour y apporter peps et fraîcheur. C’est d’ailleurs à ce dernier ingrédient que le mojito doit son nom : le « mojo » est en effet un mélange à base de citron couramment utilisé dans la cuisine cubaine pour relever le goût des aliments.
Théorie #2
Moins folklorique, la 2ème théorie sur les origines du mojito est peut-être malgré tout plus réaliste ! Le célèbre cocktail serait en fait inspiré du « mint julep », un cocktail emblématique du sud des États-Unis.
Vraisemblablement inventé au XVIIIème siècle, le mint julep est préparé avec quatre ingrédients : de la menthe, du bourbon, du sucre et de l’eau.
Le mojito dans les années 1920
Quelle que soit son origine, le mojito est LE cocktail à la mode dans les années 1920 à Cuba. À tel point qu’il est même élevé au rang de « cocktail national de Cuba », rien que ça !
Et force est de constater qu’aujourd’hui encore, le célèbre breuvage est considéré comme l’un des emblèmes du pays.
Hemingway et le mojito
Ernest Hemingway, mythique écrivain américain, tombe sous le charme de Cuba à la fin des années 1920. Comme Francis Drake, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’Hemingway est un bon vivant. Il s’installe à Cuba, où il vivra des années 1930 aux années 1960, et se met en quête de repaires où il pourra librement s’adonner à l’une de ses activités préférées : boire !
C’est ainsi que La Bodeguita del Medio, réputée pour servir le meilleur mojito de La Havane, devient l’une des adresses préférées du célèbre écrivain. Il participe d’ailleurs à en faire l’un des bars les plus emblématiques de la capitale. Aujourd’hui encore, visiteurs de passage et gens du cru s’y retrouvent pour siroter un délicieux mojito dans la plus pure tradition cubaine !